- J'ai jamais aimer ce passage de ma vie d'humain. Les causes commencent quasiment à ma naissance.
Je baissais la tête.
- J'ai toujours été un solitaire, le premier ami que j'ai eu, je l'ai eu quand je suis arriver en internat. Je suis jamais aller vers les gens de mon âge, je ne me sentais pas à l'aise avec eux. Avec les adultes, je n'avais pas de soucis pour converser, avec les gamins aussi. Mais ceux de ma tranche d'âge ; niet.
Soupirant de tristesse, je sentais au fur et à mesure,se former une boule dans mes entrailles. grimaçant légèrement, je continuais quand même.
- Mon tempérament était celui d'une gros nounours gentil comme une crême. Mais le nounours en a eu tellement marre qu'il commença à péter des cables. J'ai saboter des voitures car leurs propriétaires mn'arrétaient pas de me faire chier.
Voyant sa mine, je tentais de me justifiais.
- Je n'ai jamais pu frapper quelqu'un, donc je m'en prenais à du materiel. Les murs du lycée, des voitures y sont passées. Mais cela ne suffisaient pas à réprimer leur envie de me faire chier.
* J'ai bien envie d'aller leur faire payer mes problèmes. *
- Des vannes pas forcement méchantes de leur point de vue, me blessaient enormement. En plus, impossible de ne pas les écoutés. Le fait qu'une fille essaye de me comprendre au travers de msn ne suffisait pas.
Redressant la tête, je cherchais mes mots.
- Mais ce n'est pas tout, mes parents "m'opprimaient". Pour toi c'est exagéré, mais c'est la vérité. Alors ça + ça + ça = pétage total de cable, sur un coup de tête, je suis parti, laissant tout ce qui faisait ma vie en France, partant pour un autre ville très distante. Après pour cette ville, je pense que c'est du à un des romans que j'ai lu qui faisait mention de cette ville. J'étais et je suis toujours totalement en lambeaux. J'ai pas encore réussi à recoller les morceaux de mon moral et de ma personnalité. Quand je t'ai parler la première fois, j'ai su que c'était grâce à toi que je pourrais m'en sortir.
Je venais de finir en begayant tant les émotrions se bousculaient dans mon coeur mort. Je ne pouvais pleurer mais mes yeux en reflétaient l'envie.