Pseudo : Je me nomme Merybella. Mon nom de famille ? Nilema. Je ne le considère pas comme le mien. C'était celui de mes parents.
Âge : 15 ans, bientôt 16
Race ( Métier si il en possède 1 ) : Aux dernières nouvelles, je suis une humaine.
Description Physique ( Minimum 4 lignes ): Moi ? Je suis mince, petite. Peut-être même trop maigre, je n'en sais rien. Mes yeux ? La chose la plus étrange, chez moi. Ils sont d'un bleu-vert-gris, accompagné de brun, de noir sur les bords, et d'orange au milieu. Mes cheveux sont sombres, légèrement ondulés quand ils sont resplandissants. Mon teint est extrêmement pâle. Pourquoi ? J'ai développé des migraines quand je suis exposée à une lumière forte, à la chaleur, au soleil. Et comme je n'ai pas de traitement... Je reste à l'ombre, je ne bronze donc jamais. Mes vêtements sont toujours très simples. Jamais excentriques. Le manque d'argent ? Non, ce n'est pas ça. Un manque d'envie, oui, ça, ça convient mieux.
Description Morale ( Minimum 4 lignes ) : J'ai plusieurs caractères. Le premier est le normal, celui que je réserve aux amis et personnes que je supporte. (il y en a très peu) Il consiste à toujours parler calmement. Ne jamais s'énerver. Sourire, parfois. En bref : paraître normale. Le second est celui réservé à une personne que je connais peu mais qui semble sympathique. Il consiste à paraître assez timide (fourbe stratégie pour analyser les réactions, temps pendant lequel je n'essaie plus de paraître de marbre, ça déconcentre la personne, et moi je peux l'analyser tranquillement.). Le troisième est celui que j'utilise avec une personne que je ne supporte pas ou une personne que je connais peu (voire pas) qui me semble d'emblée antipathique (ou envers tout le monde quand je suis de mauvaise humeur.). J'ai l'air timide, de loin. Ha. Erreur. Je collectionne exprès pour ces personnes des répliques, des insultes déguisées, des phrases piquantes, acides et blessantes. Le dernier est quand je suis seule. Je semble imperturbable, imperméable, telle un iceberg. Je n'étais pas comme ça, avant... Depuis, le mot "maîtrise" est ma philosophie personnelle. De plus, les gens se méfient de moi. Qu'ils se méfient. J'attendrai.
Histoire: Mon premier souvenir ? Un regard. Un sourire. Un autre regard. Un autre sourire. Des pleurs. De joie.
La suite est nettement moins glorieuse. Enfin, si, au début, ça va. Ma vie était tranquille et calme, nous n'étions pas pauvres, mes parents travaillaient, j'allais à l'école.
Jusqu'au jour où... Vous connaissez les vampires ? Non, pas ceux des films. Les réalistes. Oui, oui, c'est ça, ceux qui se camouflent parmi nous, histoire de mieux nous bouffer.
Nous sortions du restaurant. Mes parents marchaient devant. J'étais restée en arrière, observant des dessins, sur des murs. Ils tournèrent au coin de la rue. J'oubliai les murs, les dessins, et je me mis à courir, vite, pour les rattraper. Quand retentit le cri. Je stoppai net ma course et marchai plus lentement. Quand je tournai, je les vis. Mes parents étaient allongés au sol, baignant dans une mare de sang. Et eux buvaient tranquillement ce liquide rouge. Que faire seule contre tous ? Rien. Que faire contre des êtres surhumains ? Rien. Je fuyai. Sans me retourner. Avec juste une pensée. Je les haïssai. Mais j'avais noté tous les détails. Leurs yeux rouges, pourpres. Leur beauté fascinante. Leur agilité hors du commun. Leur assurance. Leur pâleur. J'en voyais de plus en plus facilement. Et je devenais folle : personne ne me croyait. Mon caractère changeait, je me renfermais. J'ai perdu tous mes amis. Tous.
Je les voyais désormais de plus en plus souvent. Je les reconnaissais d'un coup d'oeil. Mais je les haïssais. Pourtant, je n'essayais pas de m'en éloigner. C'est une sensation étrange que d'être absolument fasciné par l'assassin de votre famille. Surtout quand leur meurtre a été qualifié de "regrettable incident de nature inconnue" par la police.
J'ai vécu chez ma tante. Charmante femme, gentille... Mais jamais là. Je passais donc mon temps, en dehors des cours, dehors, à les chercher.
Je veux retrouver des amis. Je ne veux plus passer pour une folle.
Je voudrais savoir qu'ils ne sont pas tous comme ça.
Mais peut-être suis-je vraiment folle, peut-être les ai-je vraiment inventés.
Comment savoir ?
Tout ce que je sais, c'est que je saurai s'ils existent vraiment. Sans perdre ma maîtrise de moi-même.
"Don" Elle ne le sait pas encore (Pourquoi écrirais-je à la troisième personne, sinon ? \o/), mais elle est capable de déplacer certains objets par la pensée (1° J'espère que c'est pas déjà pris, 2° Allez pas non plus lui demander de déplacer une commode de 400kg, hein, on est bien d'accord, je fais pas de déménagement de maison xD On s'entend bien sur le fait que ces "objets" sont des livres, ou des sacs... Pas des tonnes de valises !...)
Autres : Ne faites pas attention au style d'écriture très particulier, j'écris de manière plus classique et descriptive en RP
Âge : 15 ans, bientôt 16
Race ( Métier si il en possède 1 ) : Aux dernières nouvelles, je suis une humaine.
Description Physique ( Minimum 4 lignes ): Moi ? Je suis mince, petite. Peut-être même trop maigre, je n'en sais rien. Mes yeux ? La chose la plus étrange, chez moi. Ils sont d'un bleu-vert-gris, accompagné de brun, de noir sur les bords, et d'orange au milieu. Mes cheveux sont sombres, légèrement ondulés quand ils sont resplandissants. Mon teint est extrêmement pâle. Pourquoi ? J'ai développé des migraines quand je suis exposée à une lumière forte, à la chaleur, au soleil. Et comme je n'ai pas de traitement... Je reste à l'ombre, je ne bronze donc jamais. Mes vêtements sont toujours très simples. Jamais excentriques. Le manque d'argent ? Non, ce n'est pas ça. Un manque d'envie, oui, ça, ça convient mieux.
Description Morale ( Minimum 4 lignes ) : J'ai plusieurs caractères. Le premier est le normal, celui que je réserve aux amis et personnes que je supporte. (il y en a très peu) Il consiste à toujours parler calmement. Ne jamais s'énerver. Sourire, parfois. En bref : paraître normale. Le second est celui réservé à une personne que je connais peu mais qui semble sympathique. Il consiste à paraître assez timide (fourbe stratégie pour analyser les réactions, temps pendant lequel je n'essaie plus de paraître de marbre, ça déconcentre la personne, et moi je peux l'analyser tranquillement.). Le troisième est celui que j'utilise avec une personne que je ne supporte pas ou une personne que je connais peu (voire pas) qui me semble d'emblée antipathique (ou envers tout le monde quand je suis de mauvaise humeur.). J'ai l'air timide, de loin. Ha. Erreur. Je collectionne exprès pour ces personnes des répliques, des insultes déguisées, des phrases piquantes, acides et blessantes. Le dernier est quand je suis seule. Je semble imperturbable, imperméable, telle un iceberg. Je n'étais pas comme ça, avant... Depuis, le mot "maîtrise" est ma philosophie personnelle. De plus, les gens se méfient de moi. Qu'ils se méfient. J'attendrai.
Histoire: Mon premier souvenir ? Un regard. Un sourire. Un autre regard. Un autre sourire. Des pleurs. De joie.
La suite est nettement moins glorieuse. Enfin, si, au début, ça va. Ma vie était tranquille et calme, nous n'étions pas pauvres, mes parents travaillaient, j'allais à l'école.
Jusqu'au jour où... Vous connaissez les vampires ? Non, pas ceux des films. Les réalistes. Oui, oui, c'est ça, ceux qui se camouflent parmi nous, histoire de mieux nous bouffer.
Nous sortions du restaurant. Mes parents marchaient devant. J'étais restée en arrière, observant des dessins, sur des murs. Ils tournèrent au coin de la rue. J'oubliai les murs, les dessins, et je me mis à courir, vite, pour les rattraper. Quand retentit le cri. Je stoppai net ma course et marchai plus lentement. Quand je tournai, je les vis. Mes parents étaient allongés au sol, baignant dans une mare de sang. Et eux buvaient tranquillement ce liquide rouge. Que faire seule contre tous ? Rien. Que faire contre des êtres surhumains ? Rien. Je fuyai. Sans me retourner. Avec juste une pensée. Je les haïssai. Mais j'avais noté tous les détails. Leurs yeux rouges, pourpres. Leur beauté fascinante. Leur agilité hors du commun. Leur assurance. Leur pâleur. J'en voyais de plus en plus facilement. Et je devenais folle : personne ne me croyait. Mon caractère changeait, je me renfermais. J'ai perdu tous mes amis. Tous.
Je les voyais désormais de plus en plus souvent. Je les reconnaissais d'un coup d'oeil. Mais je les haïssais. Pourtant, je n'essayais pas de m'en éloigner. C'est une sensation étrange que d'être absolument fasciné par l'assassin de votre famille. Surtout quand leur meurtre a été qualifié de "regrettable incident de nature inconnue" par la police.
J'ai vécu chez ma tante. Charmante femme, gentille... Mais jamais là. Je passais donc mon temps, en dehors des cours, dehors, à les chercher.
Je veux retrouver des amis. Je ne veux plus passer pour une folle.
Je voudrais savoir qu'ils ne sont pas tous comme ça.
Mais peut-être suis-je vraiment folle, peut-être les ai-je vraiment inventés.
Comment savoir ?
Tout ce que je sais, c'est que je saurai s'ils existent vraiment. Sans perdre ma maîtrise de moi-même.
"Don" Elle ne le sait pas encore (Pourquoi écrirais-je à la troisième personne, sinon ? \o/), mais elle est capable de déplacer certains objets par la pensée (1° J'espère que c'est pas déjà pris, 2° Allez pas non plus lui demander de déplacer une commode de 400kg, hein, on est bien d'accord, je fais pas de déménagement de maison xD On s'entend bien sur le fait que ces "objets" sont des livres, ou des sacs... Pas des tonnes de valises !...)
Autres : Ne faites pas attention au style d'écriture très particulier, j'écris de manière plus classique et descriptive en RP
Dernière édition par Merybella Nilema le Mar 5 Mai - 19:42, édité 2 fois